Marathon KM 8
Pour ce 8e kilomètre, on va écrire un journaling...
hééééééééééééééé oui!!!
Et
là c'est Daniela qu'il faudra remercier, et Lilune aussi (ou comment
retourner les foudres des marathonscrapeuses contre une autre
scropine.... )
Vous
allez faire une page qui raconte une de vos catastrophes à la
Daniela.... la vôtre ou celle d'un membre de votre famille.. comme vous
voulez...
et comme je conçois que c'est un peu difficile je vous laisse jusqu'à mardi soir minuit!!!!
Quelle idée ce défi! Et bien j'ai trouvé une petite catastrophe toute petite qui me permet de faire une page de plus
Avant de partir visiter la ville,j’ai demandé à Jean François s’il voulait prendre le petit appareil photo pour prendre lui même quelques photos.Il n’a pas voulu et j’ai donc laissé l’appareil dans le coffre de la chambre de façon à alléger mon sac. Quelque chose ne me satisfaisait pas ...mais quoi?
Nous prenons un taxi pour descendre au centre ville; il nous dépose comme la veille au soir devant la Mesquita.Elle est aussi belle de jour que de nuit.
Je sors mon appareil, fais quelques réglages, choisis le bon angle et déclenche. Je regarde ce que cela donne sur l’écran. Rien .C’est tout noir. Que se passe t-il? Je recommence. Rien . ....Catastrophe, la batterie est à plat ou presque.Je peux encore prendre quelque photos mais pas les controler . Que faire ? Repartir tout de suite à l’hotel? Se promener un peu sans prendre de photos, c’est frustrant. Nous décidons finalement de passer la matinée à visiter la ville, en prenant des photos jusqu’à ce que la batterie soit totalement vide.Après le déjeuner nous remontons à l’hotel .Après une sieste et un bain plus courts que prévu nous repartons visiter la Mesquita,sans oublier de mettre la batterie bien chargée du “petit” appareil dans le “gros”. Et oui je savais que j’avais une batterie rechargée depuis peu, mais elle n’était pas dans le bon appareil et habituellement je les emporte les deux.
Ce fût une toute petite catastrophe mais elle nous a permis de visiter la mosquée à un moment où il n’y avait presque personne.